Au pied de la plus grande dune de sable du Gobi, je l’ai vu arriver, tellement minuscule, elle semblait animée d’un gros chagrin. Ses cheveux étaient un fin duvet blond, ses yeux juste un trait qui fendait sa frimousse toute ronde. Je suis allée vers elle et l’ai prise dans mes bras. © M. Charré
02/01/2008
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