Le chant d’un coq solitaire a brisé le silence au cœur de la nuit. Nous savions que ce troisième jour de trek serait le plus dur. Nous avions pour mission d’atteindre le pont suspendu avant 9h, pour éviter qu’il ne balance de trop. Que la descente vers la rivière Tangma fut longue, le terrain glissant où nos pas roulaient sur des pierres à angles vifs. © M. Charré
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