Par un embarcadère plus qu’archaïque fait de quelques planches inégales, de rondins de bois à l’espacement sauvage,
nous sommes descendus des frêles embarcations qui nous avaient emmenés au « marché des crocodiles ».
Le soir tombait, des vaches broutaient l’herbe aux abords du ponton.
Côte à côte, deux jeunes bergères curieuses assistaient à notre retour. © M. Charré
05/01/2008
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