Sous ces latitudes, le jour se lève tôt. Nous quittions Wamarek pour gagner dans quelques heures Wesagalep. Nos porteurs après avoir chargé nos sacs sur leurs épaules nous encouragèrent à prendre le sentier. Lorsque plus tard ils nous distribuèrent des bâtons, je me persuadais que ce n’était pas vraiment utile. J’ignorais encore à quel point il me deviendrait nécessaire. Chacun de nos porteurs le taillait à son goût, à sa manière. Chaque soir Patrice, Natalys, Micky, Yanouf et les autres les regroupaient tous ensemble. Ils ne se tromperaient jamais en nous les rendant au matin. © M. Charré
26/01/2008
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