Le chemin serpentait en pleine forêt fluviale, s’élargissait en un véritable boulevard barré de rondins de bois. La montée fut pénible, nous avions le souffle court. Nous avons fait halte pour attendre le reste de la troupe, le temps de tirer quelques flèches des arcs de nos porteurs. © M. Charré
27/01/2008
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