



Nous sommes descendus dans le tombeau de cette famille libyenne. Il y faisait lourd, l'air était raréfié, mais nous l'avons oublié parce que la beauté de ce que nous découvrions pouvait nous faire supporter ces quelques désagréments. D’autant que dans le second tombeau, au plus profond où nous avions enjambé un petit muret, nous venions de découvrir, sans l’ombre d’un doute, assis au bord de trois niches, trois de nos "adeptes" de la veille au soir en méditation. Suffoqués puis vite hilares, nous nous sommes demandés si, au bivouac du soir au cœur du Désert Blanc, nous ne les retrouverions pas devant nos tentes, chacun assis sur une pierre !
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