Elle s’est assise près de nous, a dénoué sans hâte son baluchon où étaient réunis ses trésors : quelques colliers, deux ou trois minuscules poteries, des pointes de lances. Nous lui avons presque tout acheté. Elle s’est éloignée comme elle était venue, sans bruit, sans se retourner, frôlant d’un pas léger la fine couche sablonneuse. © M. Charré
02/01/2008
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