 Une odeur âcre pétrissait l’atmosphère. Les filets que les femmes portaient, posés sur leurs fronts, dessinaient en leur attitude une élégante courbure au-dessus du rideau de fumée. Elle s'échappait d'un nid de verdure dont, seules les femmes connaissaient l'exact mystère qui le composait. © M. Charré
 Une odeur âcre pétrissait l’atmosphère. Les filets que les femmes portaient, posés sur leurs fronts, dessinaient en leur attitude une élégante courbure au-dessus du rideau de fumée. Elle s'échappait d'un nid de verdure dont, seules les femmes connaissaient l'exact mystère qui le composait. © M. Charré27/01/2008
IRIAN JAYA - juin 2007
 Une odeur âcre pétrissait l’atmosphère. Les filets que les femmes portaient, posés sur leurs fronts, dessinaient en leur attitude une élégante courbure au-dessus du rideau de fumée. Elle s'échappait d'un nid de verdure dont, seules les femmes connaissaient l'exact mystère qui le composait. © M. Charré
 Une odeur âcre pétrissait l’atmosphère. Les filets que les femmes portaient, posés sur leurs fronts, dessinaient en leur attitude une élégante courbure au-dessus du rideau de fumée. Elle s'échappait d'un nid de verdure dont, seules les femmes connaissaient l'exact mystère qui le composait. © M. Charré
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