27/01/2008

IRIAN JAYA - juin 2007

Ce fut le seul jour de pluie et nous sommes conscients que la chance nous avait accompagnés. Mais elle tombait drue et rendait le chemin boueux, glissant. L’air était piquant de fines gouttelettes qui martelaient le sol à l’oblique et ruisselaient sur les capes de pluie, inondaient les visages. © M. Charré

Les ronces entravaient nos pas, il nous fallait franchir les petits murets de pierres sèches qui nous barraient le chemin, sans trébucher, sans trop d’égratignures. Mais alors Patrice me prenait fermement la main et m’encourageait du regard. © M. Charré

Aucun commentaire: