Ce que cet homme porte s'appelle un "koteka". Il s’était assis sur une pierre qui lui servait de banc. Il assistait tranquillement à nos préparatifs de départ. N’était-ce pas l’os qui lui traversait la cloison nasale qui lui donnait cet air un peu filou ?Ne restent aujourd'hui que les anciens pour continuer dans les traditions ancestrales. Mais il arrive que pour des cérémonies les jeunes hommes suivent ces traditions. Tout au long de notre trek nos rencontres furent des plus impressionnantes. © M. Charré
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