 Nos yeux piquaient, larmoyaient, lorsque nous sommes ressortis de la hutte enfumée en courbant le dos. Sur le pas de sa porte la femme dani nous a montré sa main en riant de toutes ses dents et surtout de nos têtes. Les phalanges de ses doigts avaient été tranchées. C’est la tradition ici que de se couper une phalange chaque fois qu’un qu’un proche meurt.  D’une tape sur l’épaule elle m’a sortie de mon effarement. © M. Charré
 Nos yeux piquaient, larmoyaient, lorsque nous sommes ressortis de la hutte enfumée en courbant le dos. Sur le pas de sa porte la femme dani nous a montré sa main en riant de toutes ses dents et surtout de nos têtes. Les phalanges de ses doigts avaient été tranchées. C’est la tradition ici que de se couper une phalange chaque fois qu’un qu’un proche meurt.  D’une tape sur l’épaule elle m’a sortie de mon effarement. © M. Charré 27/01/2008
IRIAN JAYA - juin 2007
 Nos yeux piquaient, larmoyaient, lorsque nous sommes ressortis de la hutte enfumée en courbant le dos. Sur le pas de sa porte la femme dani nous a montré sa main en riant de toutes ses dents et surtout de nos têtes. Les phalanges de ses doigts avaient été tranchées. C’est la tradition ici que de se couper une phalange chaque fois qu’un qu’un proche meurt.  D’une tape sur l’épaule elle m’a sortie de mon effarement. © M. Charré
 Nos yeux piquaient, larmoyaient, lorsque nous sommes ressortis de la hutte enfumée en courbant le dos. Sur le pas de sa porte la femme dani nous a montré sa main en riant de toutes ses dents et surtout de nos têtes. Les phalanges de ses doigts avaient été tranchées. C’est la tradition ici que de se couper une phalange chaque fois qu’un qu’un proche meurt.  D’une tape sur l’épaule elle m’a sortie de mon effarement. © M. Charré 
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