27/01/2008

IRIAN JAYA - juin 2007

Les « koteka » proviennent de ces coloquintes plus ou moins effilées. Sous la tonnelle au jour finissant elles se suspendaient comme chauve-souris, têtes à l’envers. © M. Charré

Dans les mains du vieil homme les coloquintes se tordaient en tous sens. Etait-ce de rire, où tentaient-elles de s’échapper, si la main qui les tenait relâchait son emprise ? © M. Charré
Déçu, le vieil homme le fut car nous n’avons pas acheté ses koteka. Il a détourné le visage en les contemplant puis il a dû regagner la pénombre de sa hutte enveloppée de silence. © M. Charré

Aucun commentaire: