 Il n’y avait aucune once de graisse sur le corps de cet homme dont la poitrine arborait une maigre toison grisonnante. Malgré les années, il était encore étonnamment vigoureux. Le soleil avait buriné ses traits. Trônait sur le sommet de son crâne un petit béret rouge. Il emportait avec lui, posé sur son épaule, un outil dont il avait dû gratter la terre depuis des décennies. © M. Charré
 Il n’y avait aucune once de graisse sur le corps de cet homme dont la poitrine arborait une maigre toison grisonnante. Malgré les années, il était encore étonnamment vigoureux. Le soleil avait buriné ses traits. Trônait sur le sommet de son crâne un petit béret rouge. Il emportait avec lui, posé sur son épaule, un outil dont il avait dû gratter la terre depuis des décennies. © M. Charré  
27/01/2008
IRIAN JAYA - juin 2007
 Il n’y avait aucune once de graisse sur le corps de cet homme dont la poitrine arborait une maigre toison grisonnante. Malgré les années, il était encore étonnamment vigoureux. Le soleil avait buriné ses traits. Trônait sur le sommet de son crâne un petit béret rouge. Il emportait avec lui, posé sur son épaule, un outil dont il avait dû gratter la terre depuis des décennies. © M. Charré
 Il n’y avait aucune once de graisse sur le corps de cet homme dont la poitrine arborait une maigre toison grisonnante. Malgré les années, il était encore étonnamment vigoureux. Le soleil avait buriné ses traits. Trônait sur le sommet de son crâne un petit béret rouge. Il emportait avec lui, posé sur son épaule, un outil dont il avait dû gratter la terre depuis des décennies. © M. Charré  
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