 La montée avait été terrible qui nous conduisait vers le village. Enfin, nous avons aperçu les toits en tôle ondulée de l’école de Wesagalep. A l’entrée, un groupe d’enfants s’était précipité vers nous, tandis que nous nous libérions de nos sacs. Nous n’aspirions qu’à une chose, nous allonger sur la pelouse d’herbe, reprendre souffle. C’était sans compter avec leur curiosité, leur désir de nous observer de près, d’épier le moindre de nos gestes. © M. Charré
 La montée avait été terrible qui nous conduisait vers le village. Enfin, nous avons aperçu les toits en tôle ondulée de l’école de Wesagalep. A l’entrée, un groupe d’enfants s’était précipité vers nous, tandis que nous nous libérions de nos sacs. Nous n’aspirions qu’à une chose, nous allonger sur la pelouse d’herbe, reprendre souffle. C’était sans compter avec leur curiosité, leur désir de nous observer de près, d’épier le moindre de nos gestes. © M. Charré26/01/2008
IRIAN JAYA - juin 2007
 La montée avait été terrible qui nous conduisait vers le village. Enfin, nous avons aperçu les toits en tôle ondulée de l’école de Wesagalep. A l’entrée, un groupe d’enfants s’était précipité vers nous, tandis que nous nous libérions de nos sacs. Nous n’aspirions qu’à une chose, nous allonger sur la pelouse d’herbe, reprendre souffle. C’était sans compter avec leur curiosité, leur désir de nous observer de près, d’épier le moindre de nos gestes. © M. Charré
 La montée avait été terrible qui nous conduisait vers le village. Enfin, nous avons aperçu les toits en tôle ondulée de l’école de Wesagalep. A l’entrée, un groupe d’enfants s’était précipité vers nous, tandis que nous nous libérions de nos sacs. Nous n’aspirions qu’à une chose, nous allonger sur la pelouse d’herbe, reprendre souffle. C’était sans compter avec leur curiosité, leur désir de nous observer de près, d’épier le moindre de nos gestes. © M. Charré
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